Les Machines de l’Île créées par François Delaroziere et Pierre Orefice , se situent à la croisée des chemins entre culture et urbanisme.
Pensés en trois étapes, le Grand Eléphant en 2007, le Carrousel des Mondes Marins en 2012 et demain l’Arbre aux Hérons, ces équipements pérennes et touristiques s’offrent comme spectacle au quotidien et contribuent ainsi à renforcer l’attractivité du territoire.
A l’inverse de tous les parcs d’attraction où le public est captif, ces machines monumentales sont implantées et visibles dans le tissu urbain, sur l’Île de Nantes, au centre de l’agglomération.
Au cœur de cette fabrique, l’atelier de la compagnie La Machine est le poumon du dispositif. Les visiteurs depuis des belvédères peuvent assister à la construction des machines qui irrigueront une fois achevées l’espace publique
Ces « Machines de ville » sont des accélérateurs de vie. Elles mettent en scène les points de vue depuis lesquels la ville renouvelée se donne à voir.
Les Machines de l’Île : interview d’Alexandre Chémétov
Débutée en 2004, dans le cadre d’un vaste programme de requalification de l’île de Nantes, en collaboration avec Alexandre Chemetoff .
Le projet est porté par Nantes Métropole.
2007
Inauguration du Grand Eléphant, création de l’atelier, d’une branche prototype de l’arbre aux hérons et ouverture de la Galerie des Machines
2012
Ouverture du Carrousel des Mondes Marins
En étude,
L’arbre aux Hérons