Bonne année 2024

La Compagnie La Machine vous souhaite une belle année 2024 pleine de nouvelles rencontres et de retrouvailles.
Du 25 au 27 octobre 2024, la compagnie La Machine retrouvera la ville de Toulouse pour y présenter le second opus du spectacle «Le Gardien du Temple» de François Delaroziere.
Un grand spectacle dans l’espace public, rare et exceptionnel, que nous vous invitons à venir découvrir à l’automne 2024.

La Gardienne des Ténèbres – La Genèse

En 2024, La Gardienne des Ténèbres deviendra la protectrice du passage entre notre monde et celui des enfers sur le site du Hellfest à Clisson. Faite de bois et de métal, cette femme-scorpion est aussi le trait d’union entre deux univers, celui de la compagnie d’arts de rue La Machine et du festival metal Hellfest, deux acteurs incontournables du territoire ligérien.

Elle évoluera tout au long de l’année sur le nouveau parvis du site du Hellfest devenu entièrement piétonnier. Jusqu’à son apparition en juin 2024, nous allons vous partager cette aventure incroyable en vous dévoilant les grandes étapes de la construction.

La Gardiennes des Ténèbres
La Gardienne des Ténèbres est la pièce maîtresse du projet urbain. Elle est à la fois une machine de spectacle et une machine de ville capable de transporter des personnes. C’est une véritable architecture en mouvement qui offre un point de vue différent de l’espace public. Cette chimère originale est un cerbère qui contrôle le passage entre notre monde et celui de l’enfer. Son buste de femme à la peau brune surmonte l’abdomen d’un scorpion. Faite de bois et d’acier, elle se déplace sur huit pattes, adoptant une démarche entre le crabe et l’araignée. Tous ses membres sont articulés. Sa tête et son buste pivotent, s’inclinent, oscillent de droite à gauche et de haut en bas. Sa bouche et son dard crachent du feu, de l’eau sous différentes formes et de la fumée. Elle peut mordre. Ses yeux, ses paupières, sa langue contribuent à son expressivité. Ses mains préhensibles lui permettent de saisir des objets divers. Elle peut marcher, courir, se cabrer, se coucher pour venir à la hauteur du public ou se glisser sous du mobilier urbain tel que des ponts, des lignes de tramways.

De nombreuses cicatrices, scarifications et symboles ésotériques jalonnent son corps, comme les stigmates d’une vie passée, riche et mouvementée. Son squelette d’acier est mis en mouvement par de nombreux vérins hydrauliques, pneumatiques et moteurs électriques automatisés. Un châssis porteur assure sa direction, sa propulsion et son levage. Un système son embarqué permet la diffusion de musique et également de faire entendre les cris et les feulements de la Gardienne. Atteignant 10 mètres de haut, la Gardienne des Ténèbres sera capable d’embarquer 25 personnes.

Menuiserie La Gardienne des Ténèbres

Menuiserie et sculpture
La construction de la Gardienne a commencé en 2023. Une fois la maquette réalisée et les études des coques bois achevées, les menuisiers ont découpé l’ensemble des sections de bois à l’échelle réelle et les ont encollé une à une. Le bois utilisé pour La Gardienne des Ténèbres est le tilleul. Une fois les pièces assemblées, elles sont prêtes à être sculptées. Elles sont d’abord dégrossies en abrasant les arrêtes. Puis, le travail de sculpture à proprement parler peut débuter. Travailler le bois demande une réelle habileté, une précision des gestes. Sculpter, c’est dialoguer avec la matière. Toute la surface de cette peau de bois est ouvragée et travaillée avec soin et passion. La Gardienne des Ténèbres porte des marques, les traits de son visage sont fins, sa colonne vertébrale intègre des cartilages du scorpion qui la constituent.

La Gardienne des Ténèbres - sculpture du dard - crédit photos : p.david-cielamachine

Dans les prochains mois, les constructeurs et constructrices vont s’atteler à l’assemblage du squelette en métal, aux accroches bois, à la colorisation et aux test de mouvements de la Gardienne suite aux recherches d’exosquelette menées pour la manipulation des pattes, des bras, du buste et de la tête de la Gardienne des Ténèbres .

Mécanik Paradize – Du 5 au 8 octobre à Toulouse

Mécanik Paradize, c’est un festival unique et protéiforme qui mêle musique électro et arts de rue à la Halle de La Machine à Toulouse.

Mecanik paradize 2023

Du 5 au 8 octobre 2023, la Compagnie La Machine participe à l’évènement Mécanik Paradize.  Les stars de l’électro mondiale comme Charloette De Witte, Vitalic, Mezerg ou encore Deluxe enflammeront la Piste des Géants tandis que le Minotaure et la Grande Araignée feront le show. Des DJ invités, des spectacles d’art de rue avec Didier Super et même un Véritable bal ponctueront également ce festival musical et spectaculaire, scénographié par François Delaroziere.

> Mécanik Paradize – Du 5 au 8 octobre 2023 – En plein air à la Halle de La Machine
> Infos et réservations halledelamachine.fr

Ouverture de l’atelier pour les Journées du Patrimoine et du Matrimoine à Nantes

La Compagnie La Machine ouvre exceptionnellement les portes de son atelier pour les Journées du Patrimoine et du Matrimoine.
Durant les Journées du Patrimoine samedi 16 et dimanche 17 septembre, la Compagnie La Machine ouvre pour la première fois son atelier afin de faire découvrir au grand public les techniques, les métiers et les savoir-faire qui entourent la construction de ces machines monumentales en mouvement qui font désormais partie intégrante du patrimoine nantais et du patrimoine national.
Créée en 1999 par François Delaroziere, La Compagnie La Machine est une compagnie de théâtre de rue basée à Nantes. Elle crée des machines de grande taille, qu’elle met en scène lors de spectacles dans l’espace public. La Compagnie a notamment signé « Les Mécaniques Savantes » avec deux araignées géantes à Liverpool et Yokohama, « Long Ma Jing Shen, le Cheval Dragon » pour la ville de Pékin ou encore « Le Dragon de Calais » . La compagnie créée également des machines pérennes qui accompagnent des projets d’urbanisation ou de réhabilitation de quartier comme Le Grand Éléphant de Nantes ou Le Minotaure à Toulouse.
Samedi 16 et dimanche 17 septembre – de 10 h à 17 h
Gratuit – Dans la limite des places disponibles

Accès au 2 boulevard Léon Bureau Nantes- Grande Porte face au Café de la Branche.

Le Grand Bal de Barbara

Du 7 au 9 septembre 2023, Barbara et ses deux compères, Félix et Giacomo seront de retour au cœur de la ville de Esch-sur-Alzette au Luxembourg, pour célébrer dans un Grand Bal, la métamorphose de la ville et de ses habitants !

La compagnie La Machine et l’équipe de Pierre De Mecquenem reviennent à Esch-sur-Alzette pour développer la seconde phase du projet de Barbara, avec toujours pour élément commun fédérateur, le conte inscrit dans le territoire eschois.  La Nuit de la Culture, en partenariat avec La Compagnie la Machine, et les centaines de participants au projet vous invitent à une gigantesque fête de village où folklore et imaginaire se mêlent à l’identité industrielle de la région des Terres Rouges.

Au programme de ces trois jours, un « campement des animaux » installé le jeudi au cœur de la ville pour se rencontrer, fabriquer ensemble et vivre une expérience unique autour du projet. Le vendredi, les trois marionnettes géantes inviteront ensuite les habitants d’Esch et d’ailleurs à illuminer ensemble la rue de l’Alzette dans une « Grande Parade » à l’ambiance magique et enflammée jusqu’au «Village de Barbara », où les festivités dureront jusqu’au samedi soir : kermesse, découverte des marionnettes, des espaces de jeu, de la musique, des ateliers de cuisine, des concerts, une piste de danse sous les étoiles et une kermesse digne des plus belles fêtes populaires, voici ce qui attend les spectateurs pour une journée haute en couleurs … et en chaleur humaine !

Du 7 au 9 septembre 2023 – De 10 h à 00 h 30 – Esch-sur-Alzette, Luxembourg
Retrouvez toutes les informations pratiques ici +

La Symphonie Mécanique à Toulouse

Du 4 au 7 mai 2023, la compagnie La Machine présente la Symphonie Mécanique orchestré par Mino Malan et mis en scène par François Delaroziere. Une immersion sonore et poétique dans l’univers mécanique de la compagnie.

La Symphonie Mécanique
Le spectateur est convié à la visite d’un atelier symphonique et alors qu’il s’attend à écouter un concert classique, tout bascule. Il se trouve embarqué dans un voyage où se joue autre chose. L’atelier devient scène et le spectateur est immergé dans un flot d’images et de sons qui jaillissent de tous côtés. En se déplaçant, le spectateur crée son propre « mix ». Le son de la cocotte à flûte soutenu par les violons succède au xylo-à-coudre quand soudain derrière lui, l’orgue à tongs improvise avec une section de cuivres. Soudain le son de la robotbasse retentit, les palétoflammes réchauffent la peau, la Symphonie entame ses premières mesures. La magie opère…

En amont du spectacle, un atelier de construction d’instruments face au public et un Labo Symphonique avec Mino Malan sont présentés.

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Atelier de construction – du 11 au 30 avril 2023
Labo Symphonique  – du 18 au 28 avril 2023
La Symphonie Mécanique – Du 4 au 7 mai 2023
à la Halle de La Machine à Toulouse
Infos et réservations halledelamachine.fr 

Exposition « Dans les Cartons »

À partir du 4 février, découvrez l’exposition « Dans les Cartons » dans laquelle plus d’une centaine de croquis de François Delaroziere se dévoilent à l’intérieur et à l’extérieur de la Halle de La Machine à Toulouse.

En parcourant l’exposition,  le visiteur découvrira ainsi huit grandes thématiques qui traversent l’œuvre de l’artiste, du règne animal et végétal aux arts forains en passant par l’architecture. Parmi ces croquis, plusieurs sont à l’origine des grandes machines connues du grand public comme le Grand Éléphant de Nantes, Long Ma, le cheval-dragon construit pour Pékin ou encore le Dragon de Calais. D’autres croquis en revanche sont complètement inédits et n’ont jamais été présentés au public.  Ces dessins existent pour eux même, hors production spectaculaire. Ils sont un langage sensible. Une trace concrète de l’imaginaire et de la capacité de cet artiste contemporain à faire des analogies entre nature, dessin et mécanique.  Une virtuosité qui n’est pas sans rappeler l’œuvre aussi pléthorique qu’éclectique de Léonard De Vinci.

 

En imaginant cette exposition, François Delaroziere a souhaité y intégrer des machines à peindre afin de mettre le visiteur en mouvement en l’intégrant au processus de création. Cinq nouvelles machines vont ainsi rejoindre le bestiaire mécanique de la Halle de La Machine : la machine à peindre, la catapulte, la pointilleuse, la machine à dessiner avec le vent et la calligraphique. Cinq machines grâce auxquelles les  visiteurs pourront, réaliser une œuvre d’art, collective ou individuelle, mais dans tous les cas, unique.

Expo Dans les cartons - croquis f delarozeire - affiche stephan muntaner

Expo du 4 février au 30 août 2023
Halle de La Machine – Toulouse
Plus d’infos sur l’exposition : halledelamachine.fr

L’envol du Grand Héron

Pour le premier jour des vacances d’automne, le samedi 22 octobre 2022 à 16h, nous avons donné rendez-vous au pied du Grand Héron à l’arrière de l’Atelier de la Compagnie La Machine pour un vol du Grand Héron.

Vous avez été plus près de 15 000 à vivre avec nous ce grand moment d’émotion.

À son bord, les constructrices et les constructeurs de la Compagnie La Machine ont fait leur tout premier voyage sur le dos et sous les ailes de l’échassier. Une occasion unique d’observer le Grand Héron en mouvement pour le public venu nombreux soutenir le travail fourni par toutes les équipes de la Compagnie La Machine qui ont fabriqué cette œuvre.

La photo de groupe qui a conclu ce beau moment n’a pas de prix. Elle nous fait chaud au cœur.
Merci pour votre présence et votre soutien.

L’envol du Grand Héron
Rendez-vous Samedi 22 octobre à 16h sur l’esplanade des Riveurs

L’envol du Héron – crédit Jean Do Billaud

 

L’Arbre aux Hérons : L’œuvre inachevée ?

Après l’annonce faite par Johanna Rolland maire de Nantes et Présidente de Nantes Métropole hier, de l’abandon de l’Arbre aux hérons, nous avons souhaité exprimer notre incompréhension.

Pour rappel, L’Arbre aux Hérons, c’est :
– 20 ans de notre vie d’artistes et de créateurs
– des milliers de pages d’études, des dizaines de prototypes et de maquettes
– 15 animaux construits et présentés aux Nantais dans la Galerie des machines,
– des centaines de milliers de visiteurs aux Machines de l’Ile chaque année
– une équipe de 100 ingénieurs et constructeurs,
– un Grand Héron posé sur le parvis,
– des partenaires, des mécènes de tous pays
– plusieurs millions d’argent public et de contributions privées déjà engagés.

Tous sont aujourd’hui privés de leur rêve et pourront se sentir trahis car cette aventure est avant tout collective. L’Arbre aux Hérons avait déjà commencé à pousser, ce n’est pas un projet qu’on arrête, c’est une œuvre en construction qui restera inachevée. L’annonce est brutale. Aujourd’hui l’émotion domine : elle est faite de déception et de tristesse.

L’Arbre était-il juridiquement et économiquement faisable ?
On peut difficilement croire qu’après des années d’études et de dialogue avec les services de l’Etat, qui a d’ailleurs mis la main à la poche sur le projet, ce ne soit qu’aujourd’hui que les techniciens découvrent des impasses juridiques ou financières. Cet argumentaire n’est pas sérieux. Le chiffre de 80 millions d’euros est avancé aujourd’hui sans avoir été concerté, sans recherche d’alternatives. L’inflation ajoutera un coût supplémentaire, c’est vrai. C’est le cas pour toutes les opérations de la métropole et sur le territoire national. Le 9 juillet 2021, Johanna Rolland expliquait que le financement de l’Arbre aux Hérons ne représentait, avec la règle de financement choisie des 1/3 Nantes Métropole, 1/3 autres collectivités et 1/3 entreprises privées, que 0.45 % des 2.5 milliards d’investissement global sur 6 ans. Bien que le phénomène se soit accéléré, le pourcentage qu’aurait représenté l’investissement de l’Arbre aux Hérons n’aurait pas même atteint les 1%. Il s’agit donc d’un choix politique, non budgétaire.
La réalité, c’est qu’un véritable tour de passe-passe s’est effectué en faisant voter au début de l’été, le projet du Cap 44 – La Cité de l’imaginaire. Même lieu , même budget, environ 52 millions d’euros. Le choix s’est donc porté sur une médiathèque et un musée. Un projet très « sage et raisonnable » effectivement. Fera-t-il rêver dans ce Jardin «Extraordinaire» ?

Gouverner c’est décider. Ce choix unilatéral est assumé par la Maire-Présidente mais les conséquences en seront collectives. Les mécènes de l’Arbre aux Hérons, les auteurs qui ont emmené avec eux des entreprises, des donateurs de la campagne de financement participatif, des centaines de milliers de visiteurs, des nantais conquis qui ne se manifestent pas sur les réseaux sociaux et bien sûr les salariés des Machines de l’Ile et de la compagnie La Machine s’interrogent. Car cet abandon est aussi une rupture avec la méthode. La démarche engagée et soutenue par la Métropole d’embarquer l’ensemble de la société civile dans ce projet était inédite. La campagne de crowdfunding, l’engagement des entreprises mécènes dans ce projet relevait d’une démarche participative et fédératrice à l’échelle du territoire. C’est aussi cette démarche qu’on met à mal en même temps que la valeur de la parole publique.

Pourquoi opposer nécessité sociale et écologique et inutilité culturelle ?
Certains ont osé comparer cette œuvre d’art entièrement végétalisée qui a été l’élément déclencheur de la création d’un jardin public sur une friche industrielle à l’abandon, à des projets polluants sur des terres fertiles. Soyons sérieux. C’était une première, La Machine, à la demande de la métropole, a réalisé et présenté une évaluation du bilan carbone de l’Arbre qui a mis en évidence un coût carbone comparable à celui de la construction d’un immeuble de 6 étages comme il s’en construit plusieurs chaque année à Nantes. Il n’y avait rien là qui puisse choquer les consciences.

Les choix de société conditionnent le monde dans lequel nous vivons.
Pour bien vivre, l’homme a besoin de rêves et de poésie. Une société en crise ne peut pas se contenter d’éteindre les feux. Si elle ne montre pas aussi que d’autres destins existent, elle est une impasse. Nous restons convaincus que l’art dans l’espace public reste le moteur qui donne à la ville la force qui rassemble, qui transforme, qui humanise.

La devise de la ville de Nantes, « Favet Neptunus Eunti », peut se traduire de deux manières : « Neptune accompagne ceux qui voyagent » ou « Neptune favorise ceux qui osent ! ».
Voulons-nous que Nantes soit une ville sage, une belle endormie ? Souhaitons-nous oublier que c’est par son audace qu’elle est devenue l’une des premières villes où les français ont envie de vivre ?

Alors que faire maintenant ?
Toute cette énergie ne peut pas n’avoir servi à rien.
Nous refusons de croire que Nantes ne reste pas la ville que nous avons connue, innovante, joyeuse, créative.
Nous reprendrons le dialogue avec la maire présidente.
Nous devons nous parler, continuer à travailler ensemble, pour envisager l’avenir des machines, le devenir du bestiaire, le nouvel usage du Grand héron, la nouvelle figure du Jardin Extraordinaire.
Les Machines de l’Ile et la Compagnie La Machine restent un des emblèmes majeurs de la ville.
La compagnie La Machine a encore de grandes choses à faire vivre aux Nantais.
Nous avons bien d’autres idées, bien d’autres projets.
Nous vous en parlerons bientôt.

Pierre Orefice, François Delaroziere et la Compagnie La Machine

Contact presse Fredette Lampre | 06 87 77 28 71 | fredette.lampre@lamachine.fr

Les Nuits de la Culture à Esch-sur-Alzette – Luxembourg

Connaissez-vous Barbara ?

Samedi 10 septembre, Pierre De Mecquenem et la compagnie La Machine présentent « Barbara » pour célébrer la métamorphose de Esch-sur-Alzette au Luxembourg.  Dès 19 h, le public viendra accompagner les marionnettes géantes de Barbara, Giacomo et Felix lors d’une marche festive et flamboyante.

Rdv dès 19h00 dans un de ces trois lieux au choix : Place de l’Hôtel de Ville / Parking Aloyse Meyer / Op der Leier à Esch-sur-Alzette.

Ce spectacle est présenté dans le cadre des Nuits de la Culture et de Esch 2022 – Capitale Cuturelle Européenne.

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